Au cœur des luxueux palais vénitiens, Arthur, subtiles manœuvres en main, s’était juré de protéger Isabella. Il rencontra et conversa avec différents patriciens dans l’espoir de les convaincre à offrir leur soutien à la courtisane. Chacun d'entre eux était un personnage en soi, édifié par des siècles de richesse, de guerre et d'intrigue. Parmi eux, se démarquait le vieux Orsini, un grand homme à la barbe blanche comme la neige, les yeux vifs comme des saphirs. Homme de confiance, il inspirait une aura de sagesse tandis que son ton apaisant n'avait rien d'intimidant. Inspirée par sa conversation, Arthur s’enhardit à partager le dilemme d'Isabella et son engagement envers elle. Orsini, étonnamment, écouta patiemment Arthur. Il semblait d'abord sceptique, examinant Arthur avec un regard qui avait évalué des centaines d'hommes et de batailles au cours de sa vie. Finalement, après un moment de silence profond, il répliqua avec une point d'humour, affirmant son soutien à leur cause. Une nuit, alors que luschiant, Arthur mean adaika court the palais histoire de contrainte, le lieu était inondé d’allégresse. Il se dirigea vers Isabella, son cœur palpitant de soulagement, et la tira à l'écart pour lui partager les bonnes nouvelles. Ils s'embrassèrent, perdus dans leur petit monde, ignorant les regards curieux.