Se détournant du portail dégradé, Ezra plonge de nouveau dans l'existence en 1895 avec Elisabeth, ignorant les aiguilles du temps qui continuent cruellement de tourner. Son bonheur est un mélange doux-amer où, malgré l'ombre de la menace planant sur eux, l'amour triomphe des peurs et des incertitudes. Les rives de la Tamise, la danse des chevaux sur les pavés, les cerfs-volants dansant dans le ciel britannique, tout cela ne forme qu'un tableau pareil à une peinture à l'huile que lui et Elisabeth brossent chaque jour de leurs mains. Voyant son amour avertissement à propos de l'affaiblissement du portail temporel, Elisabeth suggère une visite à une vieille connaissance de sa famille, le Professeur Malcolm Sterling, un scientifique visionnaire mis à l'écart par ses contemporains en raison de ses théories avant-gardistes sur le temps et l'espace. Finalement, ils se retrouvent dans une demeure vieille de plusieurs siècles, où le scientifique vit reclus, entouré d'engins aux rouages compliqués et aux aiguilles bondissantes. Son laboratoire ressemble plus à un sanctuaire dédié aux étoiles et à l'exploration des mystères de l'univers, où dominent les cartes célestes et des modèles miniatures de systèmes solaires.