Le rire de Zeus, aussi puissant et redoutable qu'un orage cosmique en pleine fureur, résonna à travers l'infini du cosmos. 'Tu mérites bien ta condamnation, Prometheus,' dit-il alors, sans la moindre trace de pitié ou de remords. C'était la voix d'un tyran, puissante et indomptable, une voix qui ne tolérait aucun défi et qui dictait aux étoiles leur danse. Même dans l'immensité de la guerre galactique, c'était un son qui se distinguait et imposait le respect. Les autres dieux observaient silencieusement la scène, leurs expressions restant indestructibles comme si elles étaient sculptées dans le marbre. Prometheus, malgré sa terreur et son désespoir manifestes, résista à l'appel du néant qui menaçait de l'envelopper. Malgré la déclaration de Zeus, il n'abandonna pas. Au lieu de cela, il respira profondément, rassemblant chaque fragment restant de sa volonté et de sa résolution. Il regarda les visages des dieux, eux qui jugeaient sa valeur, et dit d'une voix portée par le courage et l'espoir. 'Je sais que j'ai offensé les cieux. Je ne demande pas votre pardon. Tout ce que je vous demande, c'est un moyen de briser le cycle éternel.'