Alors que Prometheus flottait dans l'immensité de l'espace, protégé par le bouclier de gaïa, une présence commença à le remplir. Avec une présence presque tangente, la puissance primordiale de la Terre-mère commença à se mêler à sa magie noire, créant un résonance harmonieuse. Les tourbillons de poussière d'obidienne, illuminés par la lueur de Gaia, évoluèrent en une armure confortable qui enrobait sa silhouette. Il tendit les mains, sentant l'étreinte chaleureuse de la Terre autour de lui, le soutenant à travers les ténèbres. Un à un, les fils de sa malédiction commencèrent à se fondre dans le pouvoir de Gaia. Un instant plus tard, une énergie pure et fantasmagorique le traversa, libérant une aura au mélange de vert sylvestre et d'une obscure ébène. De la distance galactique, Prometheus, maintenant le porteur de la magie de Gaia, se leva et affronta la guerre des étoiles. Les flots de la bataille se firent plus intenses à sa proximité, mais ce nouveau pouvoir lui a apporté réassurance et force. Transformer chaque ennemi en pierre, invoquer des monstres de la mythologie grecque ou envoyer des légions de scorpions aux vaisseaux ennemis étaient désormais des options empêtrant la flotte ennemie dans une forêt de chaos et de destruction. Son choix dictait tout simplement l'issue de conflit. Il envisageait avec sérénité toutes ces conquêtes mythiques et magnoires lorsqu'une trouée dans le bouclier de Gaia laissa passer un visage familier, un adversaire de sa vieille époque, l'impitoyable Hades qui maintenant le défiait de rompre le statu quo. Face à Hades, les vaisseaux de la guerre des étoiles semblèrent insignifiants, la vraie bataille allait être un duel de titans, des forces de la mythologie grecque. Prometheus, avec l'énergie de Gaia lui conférant une puissance inédite, n'avait plus peur de rien, et encore moins de Hades. Le titan contempla son adversaire, se demandant comment utiliser sa nouvelle énergie contre Hades. Il sentit l'aura de Gaia autour de lui, l'?il attentif de la Terre mère le surveillant, prête à prêter sa force à un bénéfice, même maléfique.