Les étoiles dans le lointain brillent de manière plus vive sous la choquante éclat de magie noire de Prometheus. Traversant les cieux comme une tempête sans fin, un éclair d'argent et de pourpre traversa l'espace entre lui et Médusa. Avec une voix qui était comme le fracas des étoiles dans l'infini, Prometheus entama le dialogue. Médusa, ta traîtrise est pâle devant la grandeur de notre mission. Les dieux nous ont négligés, les voeux des innocents sont ignorés. Rejoins-moi et Atlas. Lutte avec nous pour un nouvel Olympe, un monde sans tyrannie. Les mots résonnent dans l'air, semblant se moquer de l'insolence des dieux. Médusa, avec ses yeux serpentins et sa peau marbre-froide, sembla contempler ses paroles. Ses serpents sifflaient sur sa tête, ajoutant un murmure menaçant au silence sombre de l'Olympe. L'émeraude de ses yeux semblait constamment changeante, comme si elle luttait intérieurement avec une vérité impossible à ignorer. Atlas, à son insu, ne pas concéder la moindre confiance à Médusa. Son regard de cuivre foncé, comme celui d'un aigle en chasse, était résolument fixé sur Zeus. De ses bras musculeux et de ses jambes d'acier, émane une aura de force indomptée, prête à défier et renverser l'Olympe si nécessaire. L'Olympe elle-même semblait être sur la défensive, les dieux dans un cercle autour de Prometheus, Atlas et Médusa. Les colonnes de marbre blanc se tenaient toujours fièrement, et pourtant, même elles semblaient trembler sous le poids du destin imminent. Le sanctuaire doré et immaculé des dieux s'assombrit lentement, comme s'il faisait grise mine devant l'orgueil sans fin des immortels.